Le 20 septembre, les membres du SPCR étaient appelés à se prononcer sur le mandat de grève du front commun. Le résultat? Un vote à 98 %! Bravo à tout le monde! Poursuivons notre mobilisation!

Articles en lien avec les négociations de convention collective actuelles et passées.
Le 20 septembre, les membres du SPCR étaient appelés à se prononcer sur le mandat de grève du front commun. Le résultat? Un vote à 98 %! Bravo à tout le monde! Poursuivons notre mobilisation!
Quatrième et dernière communication en préparation de notre assemblée générale de grève du 20 septembre. Cette fois, nous examinons les menaces qui pèsent sur la profession enseignante et le réseau collégial. Le CPNC ne cache pas son désir de multiplier les modes et les voies de formation, notamment l’enseignement à distance (EAD) asynchrone et la reconnaissance des acquis et des compétences (RAC). Au-delà des questions légitimes que soulèvent ces pratiques, nous pouvons nous interroger sur leurs impacts sur notre profession et nos conditions de travail.
Dans notre dernier texte, nous avons évoqué la question de la rémunération et de la protection du pouvoir d’achat. Bien que cet enjeu soit fondamental, rappelons que le Front commun s’est donné comme objectif d’obtenir des investissements significatifs pour améliorer non seulement les conditions salariales, mais aussi les conditions de travail. Tout en poursuivant notre examen de certaines problématiques qui relèvent de la table centrale, faisons alors un rappel des grands enjeux de la table sectorielle, en insistant tout particulièrement sur la question de la charge de travail et de son alourdissement.
La rémunération, ce sont bien sûr les grands échanges de la table centrale sur les salaires, mais également plusieurs autres questions apparentées, comme le rangement des titres d’emploi, les primes, les mesures financières non-salariales comme le remboursement des cotisations aux ordres professionnels et, finalement, les mesures salariales qui visent uniquement certains groupes de personnes, comme celles qui enseignent à la formation continue.
Les quatre organisations du Front commun se sont entendues sur un mandat de grève à soumettre aux syndicats locaux. Ce sont donc les 420 000 membres de la CSN, de la CSQ, de l’APTS et de la FTQ qui se prononceront sur la même proposition. À Rosemont, notre assemblée générale se déroulera le 20 septembre. Première publication d’une série spéciale avec un bref rappel du contexte et des raisons qui amènent le Front commun à durcir le ton.
Le 1er septembre dernier, une action surprise a été organisée aux nouveaux bureaux de la Fédération des cégeps, à la Place Dupuis de Montréal. Des membres du SPCR accompagnés de trois membres de l’exécutif étaient présents pour envoyer un message fort à la partie patronale.
La semaine dernière, les quatre syndicats réunis en intersyndicale ont souligné la fin de leurs conventions collectives respectives. Rappelons en effet que celles-ci sont venues à échéance le 31 mars. Face au peu d’empressement du gouvernement et du CPNC à négocier, il a été annoncé que nous consulterions bientôt les membres sur un mandat d’intensification des moyens de pression et de préparation à la grève. Rendez-vous à l’assemblée générale du 19 avril.
Troisième et dernier texte de la série sur le projet de cahier de demandes sectorielles. Dans ce numéro, nous abordons les deux derniers thèmes, soit Organisation et relations du travail et Échelle de traitement et autres enjeux de rémunération.
Le 13 février dernier, vous avez vu paraître sur le portail une nouvelle à l’effet que la ministre de l’Enseignement supérieur, Pascale Déry, avait visité le Collège en matinée. Cette nouvelle a été bien curieusement intitulée « Rosemont accueille la ministre… ». Pourtant, alors que cet événement n’avait pas été annoncé à la communauté, il nous aurait semblé plus juste de dire quelque chose comme « Une poignée de personnes, surtout des membres de la direction, accueillent la ministre… ».
Tel que mentionné lors de l’assemblée générale du 25 janvier et dans l’article Les syndicats rejettent sèchement les offres patronales, nous amorçons la prochaine étape des négociations : l’adoption des revendications sectorielles. Cette étape fait suite au dépôt syndical initial, qui proposait un portrait des problèmes dans le réseau collégial, du point de vue des professeures et des professeurs. Maintenant, place aux solutions !